Wassila Et Salim, Ou LHistoire DUn Cocufiage Voulu Et Accepté. Troisième Partie: Samir, LÉtalon
Wassila et Salim, ou lhistoire dun cocufiage voulu et accepté.
Troisième partie: Samir, létalon
Wassila, telle une nouvelle Shéhérazade, reprit lhistoire de la vie amoureuse de son couple à lendroit où elle lavait laissée la veille.
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Après le départ de Michel, mon bel Apollon blond, nous restâmes quelques temps seuls, Salim et moi. Nous continuâmes à nous aimer toujours avec autant de passion et nous faisions lamour pratiquement tous les jours en prenant beaucoup de plaisir. Mais sans oser nous lavouer, nous sentions quil nous manquait quelque chose : pour moi, cétait évident, il me manquait un autre amant avec de belles burnes et un splendide manche qui me feraient grimper aux rideaux; pour lui, cétait aussi cet amant à qui il moffrirait et qui me tirerait devant lui en me faisant hurler de plaisir, pendant quil se caresserait et/où quil soccuperait du cul de mon nouveau partenaire.
Sans nous lavouer à lun et à lautre, lui et moi étions à la recherche du troisième larron, que nous appelions de nos vux pour mettre plus de piment dans nos relations sexuelles. Nous étions devenus, lui et moi, accrocs à ce deuxième homme: lui par candaulisme (le plaisir dexposer sa campagne aux regards dautres hommes et de la leur offrir pour des relations sexuelles qui la feront grimper aux rideaux), moi par besoin dêtre défoncée par une autre grosse bite et de jouir comme une bête sous le regard heureux de mon mari. Tous les deux, nous nous étions remis en chasse à la poursuite dun gibier que nous appelions tous les deux de nos vux. Sans que lun nen parle à lautre, nous espérions tomber rapidement sur loiseau rare et lamener à la maison.
Celui de nous deux qui le trouvera le premier, et surtout qui saura le persuader de participer à nos jeux, aura toute la reconnaissance de lautre; surtout si le gibier ainsi chassé en valait vraiment la peine : quil soit super bien monté et quil ait toute la virilité qui va avec un tel membre.
Salim lavait déniché dans une salle de musculation quil fréquentait occasionnellement, quand il sentait le besoin de perdre quelques kilos superflus. Samir, venait juste de rejoindre la salle et cétait la première fois quil le rencontrait. Il lui plut immédiatement : parce quil était beau et fort et quil semblait super viril, malgré son visage poupin. Il était sûr quil devait avoir un sexe immense, en harmonie avec sa grande taille et sa force, et limagina immédiatement entrain de me défoncer et de me faire hurler de plaisir.
Entre-temps, mon cher mari avait découvert le plaisir de la photo. Il venait de faire lacquisition dun téléphone portable de la dernière génération qui avait, entre autres fonctions, de faire des photos et des vidéos de très bonne qualité. Depuis, il narrêtait de filmer et photographier tout et nimporte quoi. Et parmi ce tout, il y avait moi quil filmait et photographiait à toutes occasions et dans toutes les positions. Il mavait photographié et filmé, toute habillée et toute nue ; sage et perverse; pudique et perverse; debout, assise ou allongée; à la maison et à lextérieur; en totalité ou en partie. Son téléphone était rempli de photos de moi nue et dans des positions érotiques et même, pornographiques.
Salim mavait dit quil avait montré ces photos à Samir, son nouvel ami et que cétait cela qui lavait décidé à tenter laventure. Il aurait complètement flashé sur mon corps et sur certaines parties de mon anatomie qui lauraient fait bander comme un âne. Daprès Salim, cétait surtout mon fessier quil avait aimé. Il est vrai que de ce côté-là javais des arguments frappants : javais (et jai toujours) de superbes hanches larges, rondes, sans aucune trace de graisse et de surcharge. Et mes fesses sont, elles aussi, fortement tentatrices : rondes, fermes et haut perchées.
Samir avait beaucoup aimé ce quil voyait dans les photos; surtout que le reste de mon corps était aussi charmant : ma poitrine forte et ferme; mes seins tendus comme des obus; mon ventre plat; ma taille un peu forte mais très bandante; mon pubis bombé, épilé et brillant; mes cuisses longues, galbées et fermes; et
ma chatte, pour laquelle Salim avait consacré plusieurs photographies, en position fermée et ouverte (et offerte !) et que moi-même je trouvais belle et excitante ! Je crois que si ce nétait pas la mienne, jaurais bandée pour elle et jaurais aimée la posséder ! La première fois que Salim mavait montré une photo de ma chatte, je me suis rendue compte que quelque chose en moi était ému et que jétais vraiment attirée par elle. Je mouillais rien quen la regardant. Jaurais aimé caresser, embrasser, lécher et sucer une chatte comme celle-là. Je métais dit, quil y avait certainement au fond de moi, quelques tendances homosexuelles cachées.
Quand ils arrivèrent, vers dix huit heures à la maison, jétais dans la cuisine entrain de préparer le dîner. Salim avait ouvert avec sa clé et fit entrer son nouvel ami : il savait où me trouver. Il savait aussi que, comme dhabitude, je devais être en petite tenue (une simple nuisette très courte, sans autres effets en dessous quun string). Cétait un deal que nous avons passé Salim et moi : il métait interdit quand jétais à la maison de porter autre chose quune tenue affriolante, qui avait pour but de le faire bander et de faire bander toute autre homme qui serait à la maison.
Salim avait définitivement dédié sa vie au sexe et à lérotisme. Il lui fallait en permanence être en contact avec lobjet de ses désirs. Il voulait pouvoir me faire lamour, nimporte où et à nimporte quel moment sans que rien ne puisse sy opposer ; surtout pas un habit. Ils me surprirent donc dans la cuisine en petite tenue.
- Je te présente Samir, dit Salim en me prenant dans ses bras et en membrassant tendrement, comme à son habitude.
- Bonjour Samir ! fis-je en lembrassant sur la joue.
Il eut lair surpris que je lembrase comme cela, sans même le connaître. Mais il ne se démonta pas et me rendit le baiser, en appuyant fortement sur ma joue droite.
- Bonjour Wassila ! fit-il. Salim mavait bien dit que tu étais belle ! Il avait tort ! Tu es superbe ! Même les photos de toi quil ma montrées sont loin dégaler la vérité ! Tu es bien plus belle !
- Flatteur ! Ainsi Salim ta montré des photos de moi ! Jespère que ce ne sont pas les plus compromettantes ! dis-je hypocritement. Il faudrait quun jour où lautre je les lui fasse effacer de son appareil !
- Surtout pas ! répondit-il, entrant immédiatement dans mon jeu.
Il était vraiment beau ! Et élégant ! Il portait un léger costume dété en alpaga bleu nuit. Il était grand et mince, avec des épaules larges, une taille fine, des hanches étroites. Sous sa veste, il portait une chemise en tissu léger, ouverte sur sa poitrine légèrement velue et montrant le dessus de magnifiques pectoraux dathlète. Tout en lui indiquait la personne qui prenait un soin méticuleux de son corps. Je tombai immédiatement sous le charme de ce magnifique éphèbe. Je me disais quavec un tel corps, il devait certainement posséder un engin en proportion. Jen bavais davance. Je confiais à Salim la mission de terminer ce que jétais entrain de faire (cuisiner), pris Samir par la main et lentraînai dans le salon.
Il se laissa faire sans résistance. Je crois que lui aussi était tombé sous mon charme (ou sur celui des photos de moi quil avait matées) et quil était pressé de prendre possession des charmes qui lattendaient. Avant même darriver jusquau grand sofa qui nous tendait les bras, il posa sa main sur mes fesses pour tester leur fermeté.
- Hum ! Elles sont aussi dures et douce que du marbre ! Jai hâte den prendre possession.
Je venais darriver au pied du sofa. Je sentis ses mains se poser sur mes hanches et mattirer vers lui. Il me colla contre son corps en insistant pour que mes fesses se collent contre son bas ventre. Il voulait me faire sentir lénormité de son excitation. Je sentais en effet la grosseur de la boule que faisait son sexe sur le devant de son pantalon. Jen profitais pour bouger mon cul pour le caresser avec. Il poussa un petit gémissement de plaisir. Je sentais son impatience et son envie de me posséder sans plus attendre; sans préparation. Jétais heureuse ! Surtout que je ne mattendais pas à me faire prendre, ce soir par un bel éphèbe comme lui ! Je sentais ma chatte palpiter et se remplir de mouille. Jétais moi-même pressée quil me tire comme cela.
Cétait comme sil avait lu dans mes pensées. Il me força à me mettre à genoux devant le sofa. Il sagenouilla derrière moi, en appuyant sur mon dos pour que je pose ma tête sur le sofa. Dans cette position, javais les fesses relevées. Je les relevais encore plus haut pour mettre mon cul à portée de son membre. Je ne me retournais même pas pour voir ce quil était entrain de faire. Jétais dans une délicieuse position dattente. Je ne savais pas ce quil allait me faire ; mais quoi quil me fasse, je savais que cela allait être délicieux. Jétais seulement impatiente quil commence. Je me sentais prête à tout accepter et à prendre un maximum de plaisir.
Je sentis ses doigts qui se glissaient sous lélastique de mon string et qui le rabaissaient sur le bas de mes cuisses. Je me dis quil était entrain dobserver ma chatte et quil la comparait avec les photos quil avait vues. Cétait en effet ce qui se passait.
- Elle est exactement comme dans les photos ! Merveilleuse !
Et je le sentis qui était entrain douvrir sa braguette (javais entendu le bruit du zip !) et de sortir son engin. Javais envie de me retourner pour le voir, mais je mefforçais à ne pas le faire. Je voulais le sentir en moi, avant de le voir. Je voulais dabord découvrir ses dimensions et sa force dans mon vagin. Et je le sentais venir se poser entre mes grandes lèvres: il était en même temps dur et doux ! Je devais être dans le même état que la pouliche qui attendait la saillie de létalon qui était entrain de la monter! Jétais impatiente ! Mon cur battait très fort et très vite ! Je voulais que lengin qui était à lentrée de ma chatte me pénètre en force, sans plus attendre !
Et il me pénétra ! Franchement ! Sans préparation ! Dailleurs, je navais pas besoin dêtre préparée ! Je létais déjà ! Ma chatte coulait à flots, à la simple imagination de ce que jallais ressentir. Et ce que je ressentis à ce moment est très difficile à expliquer avec des mots. Le seul mot qui se prête pour définir létat dans lequel jétais est: plaisir ! Le plaisir que donne un superbe zob, bien grand, bien gros qui me lime franchement la chatte et qui tire de moi des cris de bonheur ! Le plaisir de sentir ce zob me remplir complètement le vagin et qui va et vient en maître absolu des lieux, depuis lentrée jusquau fond et qui me donne la sensation, tant le chemin quil parcourt est long, quil va ressortir par ma bouche ! Le plaisir de ne plus rien pouvoir contrôler ; pas même les mouvements des mon corps et de ma tête, qui allait dans tous les sens au gré des coups de boutoir que je recevais ! Le plaisir dentendre au dessus de mon dos les ahanements de lhomme qui me tire ainsi, presque brutalement, et qui me donne envie de lui crier de ne pas sarrêter ; de continuer ; dy aller encore plus fort !
Et de fait, je narrivais plus à me retenir. Je me mis à crier au bel étalon qui me montait et me tirait avec force, tout le plaisir quil me donnait. Je voulais quil sache que jétais heureuse dêtre baisée comme cela ; en force et avec un si bel engin.
- Cest bon ! Oui ! Continue ! Plus fort ! Plus fort ! Plus fort ! Plus vite ! Baise-moi ! Encore !
Les mots sortaient ainsi de ma bouche, sans que ne puisse rien faire pour les retenir. Ils séchappaient de moi, comme si une force plus forte que ma volonté les prononçait à ma place. Ils avaient le don daccroître encore plus mon excitation. Mais au fond de moi, je voulais aussi entendre mon homme me dire quil aimait me baiser comme cela ! Que jétais sa pute ! Quil aimait les belles putes comme moi !
- Dis-moi que tu aimes me baiser ! Dis-le ! Dis-le très fort ! Dis-moi que je suis une pute ! Une belle pute ! Que tu aimes défoncer ta pute ! Dis-le !
- Oui pute ! Pute ! Pute ! Pute !
Jétais au paradis ! Jaurais voulu arrêter le temps pour que mon bonheur durât très longtemps! Je voulais que la sensation que me procurait le bel engin qui défonçait férocement ma chatte soit éternelle ! Mais le plaisir était tellement fort que je sentis arriver un énorme orgasme, quaucune force, ni volonté, naurait pu arrêter. Je sentis tous mes muscles se tendre jusquà me faire mal et ma respiration sarrêter. Je sentis la jouissance arriver du fond de mes entrailles et dévaler comme un torrent impétueux, venant inonder ma chatte avec un flot de cyprine, que le gros engin qui me possédait expulsait vers lextérieur. Il était accompagné par un immense râle de plaisir qui dura une éternité. Vaincue, je relâchais tous mes muscles et maffaissais par terre, mon merveilleux amant toujours sur mon dos.
Samir navait pas encore joui. Son gourdin était encore en érection et continuait à pilonner ma chatte. Il sarrêta de me tirer et sortit de mon vagin. Il mattrapa par lépaule me retourna pour que je lui fasse face et me présenta son engin devant la bouche.
- Bouffe-le ! ordonna-t-il.
Au lieu de mempresser de le faire immédiatement, je pris le temps de le regarder et dadmirer sa taille et sa force. Lénormité de lengin que javais ressenti quand il était dans mon tunnel, était non seulement confirmée, mais dépassait tout ce que javais vu : Samir était monté comme un véritable étalon ! Et en plus son zob était si beau : dune couleur brune, il était lisse et brillant, avec un gland en forme de tête de champignon. Le bonheur pour mes sens ! Je le pris à deux mains pour pouvoir lentourer complètement. Je le palpai et le tâtai avec gourmandise. Jallais me régaler avec un tel zob en moi ! Je le voulais partout : dans ma chatte, bien entendu, mais aussi dans mon cul et dans ma bouche ! Mais tout de suite, cétait dans ma bouche quil voulait lintroduire. Je savais que jallais souffrir avec un tel monstre, mais mon Dieu, que jadore ce type de souffrance !
Jouvris très grand ma bouche, écartai les dents et introduisit le gland entre les lèvres. Je le titillai un peu avec la langue, avant davancer la tête pour le faire pénétrer le plus profond que je pouvais. Il était trop long et voulut aller trop loin; au delà de la glotte. Je pris donc la précaution de raccourcir le manche en serrant sa base dans ma main pour quil ne puisse pas aller trop profond. Je le sentis qui mattrapait les cheveux pour bloquer ma tête et se mettre à me pilonner la bouche avec autant de force quil le faisait tantôt dans ma chatte. Il me faisait mal et je sentais que jallais sil continuait trop longtemps comme cela. Son énorme sexe raclait lintérieur de ma bouche et élargissait ma gorge. Je faisais tout pour lempêcher daller trop loin en retenant son sexe avec la main qui lenserrait à sa base.
Il ressortait totalement de ma bouche et repartait aussitôt au fond. Je le regardais entrer et sortir ainsi, tout en salivant dessus. Je sentais mes yeux qui se remplissaient de larmes et mes narines qui coulaient telles des fontaines. Samir me regardait et semblait content de leffet de ses coups de boutoir dans ma cavité buccale. Je lentendais qui gémissait à chacune des pénétrations, brutales et violentes, de son immense gourdin. A un moment, je lentendis pousser comme un long cri dagonie et accélérer le rythme de ses va-et-vient dans ma bouche. Il lâcha une grosse rasade de sperme qui alla directement au fond de ma gorge.
Javais pris lhabitude des fellations qui se terminaient par un lâchage de sperme au fond de ma gorge. Mais la quantité de sperme que venait de lâcher Samir dans ma gorge était tellement importante, quelle avait failli m. Javais dû en recracher une partie sur son sexe, qui continuait imperturbablement à entrer et sortir. Il éjacula encore trois fois à lintérieur et le reste il me lenvoya sur le visage. Quand il termina, il essuya son sexe encore en érection sur mes joues et mes lèvres. Il vint se mettre à genoux devant moi, me regarda bien en face et mordonna de tout avaler. Ce que je fis, en me nettoyant avec les doigts et en léchant tout le foutre que je ramassais. Je le faisais avec gourmandise tout en le regardant dans les yeux pour y lire le plaisir quil y prenait et aussi pour le provoquer et le pousser à encore me baiser. Jétais insatiable ! Jen voulais encore !
Ce fut Salim qui nous arrêta en manifestant sa présence. Nous lavions complètement oublié. Non seulement, il avait assisté à toute la scène, mais aussi, il lavait photographié et filmé avec son téléphone portable.
- Jai rarement assisté à des scènes aussi érotiques ! dit-il avec son sourire carnassier. Jaimerai que tu te déshabilles ! dit-il à Samir.
Cest vrai que mon amant mavait baisé sans même ôter ses habits. Il avait gardé son costume. Il navait fait que défaire la ceinture de son pantalon et ouvrir sa braguette. Il en avait sorti son énorme engin et mavait possédée comme cela. Même maintenant il continuait de bander. Il ne se fit pas prier pour se déshabiller complètement et rester nu. Il savait quil était beau et quil ne pouvait que plaire. Il aimait être admiré ; par les femmes, bien entendu ; mais aussi par les hommes. Je voyais au regard provocateur quil envoyait à Salim quil appréciait leffet quil faisait sur lui.
Il était vraiment beau ! Mis à part la petite touffe de poils, quil gardait sur sa poitrine pour montrer sa virilité, il avait tout le reste du corps parfaitement rasé et épilé ; même sur es jambes et ses fesses, il ny avait pas la moindre trace de poils. Salim le regardait avec le regard brillant quil avait chaque fois quune personne, femme ou homme, suscitait en lui du désir. Je voyais quil avait envie de tirer mon nouvel amant. Il le lui dit très franchement.
Samir me regarda avec des yeux interrogatifs; comme pour savoir ce que jen pensais. Je lui dis dune voix un peu contrariée, parce que javais encore envie quil me tire :
- Quand Salim veut quelque chose, il lobtient ! Sil a décidé de tenculer, il le fera ! Alors autant lui offrir ton cul de ton plein gré. Tu verras, il sait sy prendre et te fera aimer !
- Mais jaime déjà ! Je suis un bisexuel ! Seulement, comme je nen ai pas fini avec toi, jaurai voulu que ton mari nintervienne que plus tard. Quand jaurais bien joui en toi. Salim ne mavait pas caché que je lui plaisais et quil voulait me tirer. Jaurais accepté de venir avec lui sans aucune condition, parce quil me plait aussi. Mais quand il ma montré tes photos, jai flashé et jai voulu te posséder.
Jétais un peu déçue par la révélation de sa bisexualité. Cela ne me gênait pas quil se fasse tirer par Salim, mais jaurais préféré que cela soit une découverte pour lui. Comme tous ceux quil avait sodomisés auparavant. Mais ma déception était contrebalancée par lénorme engin quil possédait et dont il se servait comme un Dieu ! Je voulais absolument ma part du plaisir qui allait suivre. Je dis à Salim que jaimerai participer à leur jeu. Il allait enculer Samir et je voulais que Samir mencule en même temps. Lidée plut beaucoup aux deux hommes. Samir mattrapa par la taille et me fit mettre à quatre pattes sur le sol, devant le sofa. Il vint se mettre derrière moi, mécarta les fesses et dévoila mon anus. Il comprit tout de suite quil avait déjà beaucoup servi et quil navait pas besoin de beaucoup le lubrifier pour le pénétrer en force.
Il cracha dans sa main et déposa la salive à lentrée de mon cul. Il posa le gland de son sexe sur lanus et dun coup brutal me pénétra jusquau fond ; jusque ce que son pubis vienne cogner contre mes fesses. Je poussai un petit cri de plaisir mêlé de douleur. Car même si mon cul nétait plus vierge depuis longtemps, le gourdin qui venait de me pénétrer était vraiment trop gros; il mavait fait très mal. Salim vint faire la même chose avec Samir. Il le pénétra lui aussi en force et lui fit pousser un soupir. Certainement un soupir de plaisir, qui provenait de la double pénétration : celle de son zob dans mon cul et celle du zob de Salim dans le sien.
Je navais encore jamais vécu une telle scène : trois corps qui formaient une masse compacte. Nous nous mîmes à gémir tous les trois de plaisir ; au même rythme ! Je ne pouvais pas voir la totalité de la scène, car même en me retournant au risque dattr le torticolis, je ne pouvais rien apercevoir hormis la poitrine de Samir sur mos dos. Je me contentais donc de la sensation de force et de douceur du membre qui allait et venait en force dans mon rectum, en tirant de moi des gémissements de plaisir de plus en plus intenses. Jétais aussi à lécoute des gémissements et des cris de plaisir de mes deux hommes ; gémissements qui sentremêlaient et dont lintensité, elle aussi, allait crescendo. Et puis le miracle se produisit ! Tous les trois nous jouîmes en même temps. Javais senti lorgasme qui arrivait et les criai à mes hommes :
- Je vais jouir ! Je vais jouir !
Immédiatement je sentis le corps de Salim se crisper dans mon dos et ses mains tirer encore plus fort sur mes hanches. Il éjacula très fort dans mon cul en criant que lui aussi jouissait.
- Je suis entrain de jouir ! cria-t-il, en tournant la tête pour apercevoir Salim qui continuait à pilonner son cul avec force.
- Moi aussi je suis en train de me vider ! fit-il en embrassant Samir sur la joue quil lui tendait.
Ils éjaculèrent tous les deux longuement; Samir dans mon cul et Salim dans le sien. Quand nous nous séparâmes, heureux et apaisés mes deux hommes vinrent ensemble me présenter leurs zobs, maintenant complètement ramollis pour que je les nettoie. Ce que je fis avec plaisir et compétence.
Notre relation à trois dura environ un mois. Elle sarrêta sur mon insistance, parce que je voyais que Salim était entrain de tomber vraiment amoureux de léphèbe. Depuis quil était avec nous, il était rare que mon mari me fasse lamour comme auparavant. Il se contentait denculer Samir et dy prendre un plaisir tellement fort que jen étais devenue jalouse. Je sais quil ny a rien de logique là-dedans: je prenais moi même beaucoup de plaisir à me faire tirer par Salim et mon mari nen était pas jaloux; bien au contraire, il appréciait. Jaurais dû moi aussi apprécier son bonheur avec son amant. Mais que voulez-vous ? Je suis ainsi faite: je ne voulais pas que mon chéri le seul véritable homme de ma vie ! aime quelquun dautre que moi.
Quil prenne du plaisir avec un ou une autre, oui ! Quil aime quelquun dautre, non ! Jexigeais donc de Salim quil se débarrassât de Samir. Il le fit à contre cur, mais il le fit quand même. Par amour pour moi ! Bien entendu, je regrettais beaucoup la perte de mon éphèbe, membré comme un étalon. Mais je voulais avant tout garder mon amour.
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